Zoo ou l'assassin philanthrope acte 2 tableau 10
La pièce de théâtre "Zoo ou l'assassin philanthrope" écrite par Vercors en 1963 met en scène Douglas Templemore, un riche industriel qui ouvre sa propriété privée aux visiteurs en y exposant des animaux sauvages. Cependant, les animaux ont été conditionnés pour obéir et rester immobiles, ce qui soulève des questions éthiques et pose la question du traitement des animaux dans les zoos.
Résumé de l'acte 2
Au deuxième acte, le ministre de la Justice, accompagné d'un policier, arrive sur le domaine de Templemore pour enquêter sur les conditions de détention des animaux. Templemore leur montre le zoo et leur explique la méthode de conditionnement qu'il utilise pour que les animaux restent immobiles. Cependant, le policier, qui ne supporte pas la vue des animaux ainsi traités, s'attaque à eux, provoquant une panique générale et détruisant ainsi le système de conditionnement de Templemore.
Le tableau 10
Le tableau 10 de l'acte 2 montre le policier, désarçonné par la panique qu'il a lui-même provoquée chez les animaux, procédant à l'arrestation de Templemore. Ce dernier est accusé de maltraitance sur animaux et est conduit en prison. Ce tableau soulève la question de la responsabilité des propriétaires de zoos quant au traitement des animaux. En effet, Templemore considérait les animaux comme des objets qu'il pouvait utiliser à sa guise, ignorant leur bien-être et leur condition de vie.
Analyse de la pièce
La pièce "Zoo ou l'assassin philanthrope" est une critique acerbe du traitement des animaux dans les zoos et de la mentalité capitaliste qui consiste à utiliser tout ce qui a de la valeur pour en tirer profit, y compris les animaux sauvages. Le personnage de Templemore est le symbole de cette mentalité qui considère les animaux comme de simples marchandises, sans prendre en compte leur bien-être et leur liberté.
La pièce souligne également l'importance de la conscience individuelle et de la responsabilité face à la maltraitance des animaux. Les personnages de Fédor Lenoir, militant écologiste, et du policier montrent l'importance de s'engager pour la cause animale, même si cela signifie aller à contre-courant de la société.
En conclusion, "Zoo ou l'assassin philanthrope" est une pièce de théâtre qui souligne l'importance du bien-être animal et de la responsabilité individuelle quant au traitement des animaux sauvages dans les zoos. Le tableau 10 de l'acte 2 montre la conséquence de cette maltraitance et la nécessité de changer notre regard sur les animaux, pour les considérer comme des êtres vivants méritant respect et liberté.
Sources :
Zoo ou l'Assassin philanthrope - 1368 Mots - Etudier.com
www.etudier.com/dissertatio...Zoo ou l'assassin philanthrope. Acte I, tableau 2 - Vercors (1963)
www.pimido.com/philosophie-...Résumé des actes Zoo ou l'Assassin philanthrope, Vercors
www.ladissertation.com/Arch...'Assassin-philanthrope-Vercors-304713.htmlLe Zoo ou L'Assassin Philanthrope est une tragi-comédie écrite par Henry N. Baltimore. Il décrit la lutte d'un homme qui, tout en essayant d'être gentil et bienveillant avec les animaux, se retrouve piégé dans une spirale de violence et de haine. Dans le deuxième acte, on voit comment sa folie s'aggrave et affecte les autres qu'il cherchait à aider. Il cherche désespérément à trouver un moyen d'arrêter la violence, mais rien ne semble fonctionner.
Dans le dixième tableau, on voit à quel point le comportement de l'assassin est déstabilisant et dangereux. Il se laisse emporter par la folie et oublie la bonté qui le caractérisait auparavant. Les animaux deviennent de plus en plus terrifiés et ses actions sont une véritable menace pour leur sécurité. Les efforts de l'homme pour aider les animaux sont détournés par son comportement erratique et ses décisions impulsives.
Le Zoo ou l'Assassin Philanthrope est une pièce poignant qui nous rappelle que les bonnes intentions et les efforts bienveillants ne suffisent pas toujours pour atteindre un objectif. Les moments où l'on s'oublie soi-même et où l'on se laisse emporter par la folie peuvent être très dangereux et sérieusement nuire à nos objectifs.
C'est une leçon que j'ai personnellement apprise il y a quelques années, lorsque j'ai essayé d'aider un ami dans une situation difficile. J'étais si focalisé sur lui que je n'ai pas vu combien j'ai pu ê ...