Zoo ou l'assassin philanthrope acte 2 tableau 8 texte : analyse et interprétation
Présentation de l'œuvre
Zoo ou l'assassin philanthrope est une pièce de théâtre écrite par Vercors et publiée en 1963. La pièce se déroule dans un contexte de procès où l'on se questionne sur la nature humaine. Le personnage principal, Douglas Templemore, est accusé d'avoir tué un nouveau-né. La pièce soulève des questions éthiques et philosophiques sur les limites de la science et de la responsabilité humaine.
Analyse du tableau 8, acte 2
Le tableau 8 de l'acte 2 de Zoo ou l'assassin philanthrope est un dialogue entre le juge et le professeur Crawford. Le sujet abordé est celui de la responsabilité de l'homme dans ses actes. Le juge estime que l'homme est responsable de ses actes et doit en répondre devant la justice. Le professeur Crawford, quant à lui, estime que l'homme est conditionné par son environnement et qu'il ne peut pas être tenu responsable de ses actes.
Le dialogue entre les deux personnages est très intéressant car il soulève des questions fondamentales sur la nature humaine. D'un côté, le juge défend l'idée de la responsabilité individuelle, de l'autre le professeur Crawford défend l'idée que l'homme est le produit de son environnement.
Interprétation du tableau 8, acte 2
Le tableau 8 de l'acte 2 de Zoo ou l'assassin philanthrope peut être vu comme une critique de la justice. En effet, le dialogue entre le juge et le professeur Crawford montre que la justice est souvent aveugle et ne prend pas en compte tous les éléments qui peuvent influencer un individu dans son comportement. Cela pose la question de la légitimité de la justice à condamner certains individus.
D'un autre côté, ce tableau peut être vu comme une mise en garde contre la science. Le professeur Crawford affirme que l'homme est conditionné par son environnement, ce qui implique que la science peut influencer le comportement humain. Cela soulève des questions éthiques sur les limites de la science et sur la responsabilité des scientifiques dans leurs recherches.
Enfin, le tableau 8 de l'acte 2 peut être interprété comme une réflexion sur la nature humaine. En affirmant que l'homme est conditionné par son environnement, le professeur Crawford met en évidence la complexité de la nature humaine. Cette complexité pose des défis aux chercheurs en matière de compréhension de la nature humaine.
Conclusion
En conclusion, le tableau 8 de l'acte 2 de Zoo ou l'assassin philanthrope est un moment clé de la pièce qui soulève des questions fondamentales sur la nature humaine et sur la responsabilité individuelle. Ce tableau peut être interprété comme une critique de la justice, une mise en garde contre la science et une réflexion sur la complexité de la nature humaine.
[PDF] Zoo ou l'assassin philanthrope
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www.etudier.com/sujets/zoo-...Etude de l'extra du tableau 8 acte 2 zoo ou l'assassin philanthrope ...
www.devoirs.fr/1ere/francai...Zoo ou l'assassin philanthrope - Vercors, un écrivain
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www.docsity.com/fr/exemples...Zoo ou l'Assassin philanthrope - Wikipédia
fr.wikipedia.org/wiki/Zoo_o...[PDF] Horizons Pluriels Français 2
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www.academia.edu/36780029/L...Le deuxième acte du spectacle "Zoo ou l'Assassin Philanthrope" commence avec le Tableau 8 et la scène prend place dans un jardin public. Un géant invisible, seul témoin, se tient au-dessus des personnages principaux et offre une dose d'empathie et de douceur.
Les personnages principaux sont une vieille femme, un jeune homme et un cerf. La vieille femme est debout devant l'animal avec un mélange d'amour et de mélancolie. Son corps se balance et elle se tient debout, seule et calme. Elle parle au cerf avec dévotion et douceur, inspirant le jeune homme à s'approcher doucement pour voir ce qu'elle fait.
Le jeune homme reste à distance et observe la scène entre la vieille femme et le cerf. Il est à la fois fasciné et touché par leurs retrouvailles. Le cerf semble se prêter à la situation et dégage une aura de chasteté et de sérénité.
Tandis que le jeune homme recueille des souvenirs de cet instant magique, le géant invisible se tient à distance et observe, comme s'il voulait les protéger de tout ce qui pourrait venir les perturber. La scène se termine par un moment de profonde communion entre la vieille femme et le cerf.
L'expérience personnelle que je souhaite ajouter à ce tableau est celle que j'ai vécue lorsque j'ai été récemment au zoo. Lorsque j'ai senti le regard de certains animaux, j'ai compris le lien spécial qui existe entre eux et les humains. C'était une sensation d'amour et de sérénité que je n'oublierai jamais.